Hello les booksaddict !
J’ai continué ma découverte (qui n’en ai pas vraiment une) de Victor Dixen avec la lecture d’Extincta.
L’espèce humaine disparaîtra dans 255 heures.
Les pires prédictions climatiques se sont réalisées, le Grand Effondrement a eu lieu et presque toutes les espèces animales se sont éteintes. Les Derniers Humains se sont réfugiés dans les Dernières Terres : un archipel rocailleux surgi des glaces, où ils survivent dans des cités-royaumes éparses. Accaparés par la lutte pour les maigres ressources, ils ignorent que l’ultime cataclysme est sur le point de balayer ce qu’il reste de l’espèce Homo sapiens.
La dernière histoire d’amour s’écrira en lettres de feu.
Née dans les bas-fonds de Viridienne, la cité-royaume pourrissante envahie d’algues, Astréa rêvait de se consacrer tout entière au culte de Terra. Mais sa foi vacille le jour où son frère est accusé de sacrilège et condamné à mort.
Élevé derrière les remparts du castel, le prince Océrian était né pour régner. Mais un mystérieux accident lui arrache sa jambe et son honneur, l’écartant à jamais de la ligne de succession.
Le destin va jeter ces assoiffés de justice l’un contre l’autre, embrasant leurs coeurs avant de consumer le monde.
La flamme brûle plus fort juste avant de s’éteindre.
Malgré ma précédente lecture, Cogito du même auteur et dont mon avis était mitigé. Je me suis littéralement jetée sur celui-ci et toujours en lecture commune.
J’ai vraiment adoré cette lecture et l’histoire ! Voilà c’est dit.
L’auteur nous dépeint un monde qui a subi une terrible crise écologique et qui doit survivre malgré la disparition des espèces animales et végétales.
J’ai particulièrement apprécié l’insertion et l’utilisation de la poésie tout au long du roman. Je connaissais le poète que cite l’auteur, mais beaucoup de ses poèmes m’étaient inconnus.
J’ai eu un coup de cœur pour le personnage d’Océrian.
Et puis surtout, la beauté de l’objet livre encore une fois ! Cette bougie présente au fil des chapitres, qui fond… Cela ajoute de la tension à l’histoire. Et puis les noms scientifiques des espèces disparues inscrits en bas de page et enfin cette couverture… Encore un magnifique travail éditorial !
Pour le moment c’est mon roman préféré de Victor Dixen ! Et vous, quel est le votre ?
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